La section CSF de Neuilly-Crimolois organise une bourse aux livres:

Samedi 27 avril de 9h à 17h

Salle Polyvalente de Neuilly-Crimolois

La section CSF de QUETIGNY organise une bourse Puériculture et Enfance:

le samedi 23 mars de 14h à 18h

Le dimanche 24 mars de 10h à 16h

Salle Nelson MANDELA à QUETIGNY

La Confédération Syndicale des Familles (CSF) exprime son profond mécontentement face à la décision du gouvernement de mettre en pause le plan Ecophyto et de modifier l’indicateur de mesure de la réduction de l’utilisation des pesticides. Cette décision aura des conséquences désastreuses pour les consommateurs et aussi les agriculteurs eux-mêmes.

Pour rappel, le plan Ecophyto avait pour objectif de diminuer de moitié l’utilisation des produits phytosanitaires (pesticides, herbicides, fongicides) en France d’ici 2030 par rapport à la période 2015-2017, dans le but de préserver la santé publique et l’environnement.

En effet, la substitution de l’indicateur de mesure d’utilisation des produits phytosanitaires du NODU par son homologue européen “indicateur de risque harmonisé” (HRI1) compromet gravement les objectifs initiaux du plan.

L’indicateur HRI1, critiqué par de nombreuses organisations dont Générations Futures, est non seulement ambigu dans sa méthodologie mais aussi biaisé dans son application. En pondérant les quantités de pesticides utilisées par un coefficient de dangerosité, il crée une illusion de réduction de l’utilisation des pesticides, masquant ainsi la réalité de leur impact sur l’environnement et la santé publique.

En somme, plutôt que de s’engager pleinement dans la réduction drastique de l’utilisation des pesticides, le gouvernement opte pour un changement d’indicateur de mesure. Ce nouveau système peut indiquer une baisse alors même que les volumes de pesticides augmentent. C’est une manipulation trompeuse qui porte préjudice à l’agriculture biologique et entraîne une pollution accrue des sols, des rivières et des nappes phréatiques.

En outre, non seulement les consommateurs sont impactés, mais les agriculteurs subissent également des conséquences néfastes. En les privant d’un indicateur fiable de mesure de la réduction de l’utilisation des pesticides, le gouvernement les maintient dans une dépendance néfaste à ces substances, entravant ainsi leur capacité à adopter des pratiques agricoles plus résilientes et plus respectueuses de l’environnement.

La CSF appelle donc le gouvernement à reconsidérer sa décision et à réaffirmer son engagement en faveur d’une réduction effective de l’utilisation des pesticides en France. Les consommateurs, les familles et les agriculteurs méritent une politique agricole ambitieuse et responsable, à la hauteur des enjeux environnementaux et de santé publique auxquels nous sommes confrontés.

Pour mieux comprendre l’enjeu autour du changement d’indicateur de mesure, voici le lien d’une vidéo très pédagogique de Générations Futures:https://www.youtube.com/watchv=-2a2nhHrYyk&feature=youtu.be

Contact Presse :

TIROT Antoine

Secrétaire Confédéral chargé du secteur consommation atirot@la-csf.org – Tel : 07 49 35 31 65

La Confédération Syndicale des Familles

Ensemble pour construire l’avenir au service des familles 53, Rue Riquet 75019 PARIS 01.44.89.86.80 01.40.35.29.52

contact@la-csf.org www.la-csf.org

Chers amis,

 

Nous sommes ravis de vous annoncer le lancement de notre grand Loto!

C’est une occasion excitante de se réunir , de participer à une expérience amusante et de remporter les prix sensationnels.

Au programme:  18 parties + Bingo + Spécial

Prix: Plus de 5000€ de lots

Prix des cartons: 1 cartons: 6€

2 cartons: 15€

Plaque de 6: 20€

En participants à notre loto, vous soutenez directement les projets et initiatives de notre association.

Ne manquez pas cette opportunité de participer à un évènement palpitant le samedi 24 février  dès 18h à la salle polyvalente de Neuilly sous la conduite de CAROLE

 

 

 

Introduction : La Formation Prévention et Secours Civiques de niveau 1 (PSC1) représente une étape cruciale dans l’acquisition des gestes qui sauvent et dans le renforcement de la sécurité citoyenne. Accessible à tous, cette formation permet d’acquérir les connaissances de base nécessaires pour porter secours en cas d’urgence et pour prévenir les accidents dans la vie quotidienne. Dans cet article, nous explorerons l’importance de cette formation, son contenu ainsi que les bénéfices qu’elle apporte à chaque individu et à la société dans son ensemble.

Diagnostique et contexte local

Après plusieurs cas de crises cardiaques parmi les membres de la CSF et autour de nous, nous avons fait le constat que peu de personnes dans les Quartiers Prioritaires de la ville, de la métropole étaient formées aux gestes de premiers secours. La formation aux gestes de premiers secours est d’une importance vitale pour chaque citoyen. En effet, la capacité à prodiguer les premiers secours peut faire la différence entre la vie et la mort en cas d’urgence médicale. Or, en France d’une manière générale, le taux de formation à ces gestes est très bas. Selon une enquête réalisée en 2019 par l’IFOP, l’Institut français d’opinion publique, moins d’une personne sur deux déclare maîtriser les gestes qui sauvent. Ce chiffre est d’autant plus alarmant que le temps est un facteur crucial dans les situations d’urgence. Les victimes ont huit fois plus de chances de survivre lorsqu’une personne présente est en mesure de pratiquer rapidement une réanimation cardio-respiratoire. Pour cette raison, il a été crucial pour l’UD-CSF 21 d’offrir cette formation à 10 de ses adhérentes le 30 septembre 2023.

A l’issue de cette formation, le retour est plutôt positif, deux femmes des femmes formées ont déjà eut à pratiquer ces gestes sur des cas pratiques.

Contenu de la formation : La formation PSC1 est structurée autour de plusieurs modules essentiels, comprenant notamment :

  1. L’alerte : Savoir comment alerter les secours et transmettre les informations essentielles.
  2. La protection : Apprendre à se protéger soi-même et à protéger les victimes dans diverses situations d’urgence.
  3. L’obstruction des voies aériennes : Maîtriser les gestes de base pour dégager les voies respiratoires d’une personne en arrêt respiratoire.
  4. La réanimation cardio-pulmonaire (RCP) : Acquérir les compétences nécessaires pour pratiquer une RCP efficace.

     

Bénéfices individuels et collectifs : La formation PSC1 offre de nombreux avantages, tant sur le plan individuel que collectif :

  • Confiance accrue : Les participants gagnent en confiance en leur capacité à réagir efficacement en cas d’urgence.
  • Sensibilisation à la sécurité : La formation sensibilise les individus aux risques et aux gestes de prévention à adopter au quotidien.
  • Réduction du nombre de victimes : En apprenant les gestes qui sauvent, les participants peuvent contribuer à réduire le nombre de victimes en attendant l’arrivée des secours professionnels.
  • Renforcement du tissu social : En devenant des acteurs de la sécurité civique, les participants renforcent le tissu social et contribuent à créer une communauté plus sûre et plus solidaire.

Conclusion : En conclusion, la Formation Prévention et Secours Civiques de niveau 1 (PSC1) représente un premier pas essentiel vers la sécurité citoyenne. Accessible à tous, elle offre des compétences vitales pour porter secours en cas d’urgence et pour prévenir les accidents dans la vie quotidienne. En participant à cette formation, chaque individu devient un maillon important de la chaîne de secours, contribuant ainsi à créer une société plus sûre et plus résiliente.

 

 

 

 

 

La section CSF de QUETIGNY organise une bourse aux livres et vide jouets de la Ludothèque:

le samedi 09 décembre de 14h à 18h

Le dimanche 10 décembre de 10h à 16h

Salle Nelson MANDELA à QUETIGNY

 

La section CSF de QUETIGNY organise une bourse Puériculture et Enfance:

le samedi 13 mai de 14h à 18h

Le dimanche 14 mai de 10h à 16h

Salle Nelson MANDELA à QUETIGNY

La Confédération Syndicale des Familles de Côte-d’Or et d’autres Associations de Défense des Locataires et des Consommateurs se sont retrouvés ce jeudi 10 novembre devant le siège de l’Union Sociale pour l’Habitat à Dijon pour manifester contre la hausse de 3,5 % des loyers des logements sociaux.

Cette hausse équivaut à une dépense moyenne de 250 €/an par foyer.

 

Communiqué de presse des associations ensemble le 10 novembre 2022

Article de presse, journal ‘LE BIEN PUBLIC . 10.11.22’

 

Consultation de la commission de régulation de l’énergie (CRE) sur les tarifs réglementés de vente de l’électricité (TRVE)

Associations de consommateurs et de collectivités locales, nous prenons la parole pour alerter sur un projet de la Commission de Régulation de l’Energie (CRE) visant à accroître l’exposition des consommateurs et collectivités éligibles aux tarifs réglementés de l’électricité aux fluctuations fort risquées du marché de gros de l’électricité dans le seul but de faciliter le jeu de la concurrence.

La CRE a mis en consultation un projet de modification de la formule de calcul du tarif règlementé de vente de l’électricité. Elle propose une évolution de la méthode de calcul de la brique « coûts d’approvisionnement en énergie » des fournisseurs inacceptable, en ce qu’elle conduirait ces tarifs à s’éloigner encore davantage de ce que doit être leur mission première : protéger les consommateurs et autres clients éligibles à ces tarifs, dont les petites collectivités, d’une exposition trop grande à la volatilité des prix de gros de l’électricité.
Elle envisage ainsi de ne plus lisser sur deux années mais sur une seule le calcul du coût de l’approvisionnement en énergie. Ces évolutions, si elles devaient être adoptées, conduiraient mécaniquement à une plus grande « instabilité » des tarifs réglementés, qui deviendraient encore plus perméables qu’aujourd’hui aux fluctuations du marché.

Ce projet est contradictoire avec les déclarations gouvernementales appelant à des reformes protectrices du marché de gros de l’énergie. La parole politique se veut rassurante mais laisse les mains libres au régulateur qui lui déploie un agenda visant à exposer encore davantage les consommateurs au marché. La réforme proposée de la méthode de calcul du TRVE répond d’ailleurs assez exactement aux revendications présentées dans un Livre blanc de l’association nationale des opérateurs détaillants en énergie (ANODE) dans la perspective des dernières élections présidentielles. De fait, en page 5 ce livre blanc estimait que le tarif réglementé est « une véritable barrière pour le bon fonctionnement de la concurrence. A titre d’illustration, les TRVE ne prennent en compte l’évolution des coûts d’approvisionnement sur le marché qu’une seule fois par an, et avec un lissage sur deux ans. ». Le lissage sur deux ans était donc un obstacle à supprimer. Dans son projet la CRE répond ainsi parfaitement à cette demande des fournisseurs alternatifs : « Un raccourcissement de la période de lissage permettrait de réduire l’impact des TRVE sur la dynamique concurrentielle sur le marché de détail ».

La CRE cherche ainsi à prendre en compte les difficultés spécifiques de couverture marché des fournisseurs alternatifs. Ne produisant rien et étant souvent de très petites tailles, ces courtiers virtuels peinent à se couvrir et leur position sera facilitée s’ils devaient concurrencer un tarif réglementé basé sur un historique moins long.

Associations de consommateurs et de collectivités locales nous demandons à la CRE de renoncer à ce projet de refonte du calcul. Alors que de nombreux acteurs – et certains d’entre eux en sont d’ailleurs persuadés depuis longtemps – reconnaissent le rôle particulièrement salvateur d’une réglementation des tarifs dans le contexte actuel, il semblerait assez paradoxal de faire mine de reconnaître l’intérêt de ce « garde-fou », tout en cherchant par un mécanisme plutôt « obscur » pour le grand public à le dénaturer complétement.

L’Autorité de la concurrence dans son avis sur les tarifs de l’électricité de 2021, avait d’ailleurs insisté « sur l’importance que la question des TRV ne soit plus cantonnée à un débat d’experts et [avait invité] à un débat public éclairé sur le sujet. » Une consultation publique conduite sur quelques jours par le régulateur ne constitue en aucun cas ce que devrait être ce grand débat public, au vu de l’importance que revêt la question de la réglementation des tarifs dans le contexte actuel de crise du prix des énergies !

Dans cette perspective, et dans le cadre d’une remise à plat du marché de l’énergie, nous demandons à l’Etat de poursuivre ses négociations au niveau de l’Union européenne pour assurer une meilleure protection des consommateurs, des collectivités locales et des services publics qu’elles organisent. A cet effet, il s’agirait notamment de viser une remise en cause du principe de contestabilité des tarifs réglementés afin que ces derniers reflètent la vérité des coûts de l’opérateur historique.


Communiqué de Presse / Format PDF


Liste des signataires 

Associations de consommateurs :
ADEIC (Association de défense, d’éducation et d’information du consommateur), AFOC (Association force ouvrière consommateurs), AUE (Association des utilisateurs d’électricité), CLCV (Confédération de la consommation, du logement et du cadre de vie), CNAFAL (Conseil national de associations familiales laïques), CNAFC (Confédération nationale des associations familiales catholiques), CNL (Confédération nationale du logement), CSF (Confédération syndicale des familles), Familles de France, Association Léo Lagrange pour la défense des consommateurs, ORGECO Grand Paris (Organisation générale des consommateurs), UFC Que choisir.

Association de collectivités :
FNCCR (Fédération nationale des collectivités concédantes et régies).


Contact presse : FNCCR/Alexandre ALLION – 06.26.41.64.91 – a.allion@fnccr.asso.fr

Contacts mobilisation :
CLCV/François CARLIER : f.carlier@clcv.org
FNCCR/Violaine LANNEAU : v.lanneau@fnccr.asso.fr
CNAFAL/Françoise THIÉBAULT : asso@aflparis.org

La CSF a rencontré M. Olivier KLEIN – Ministre délégué auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargé de la Ville et du Logement – ce mardi 20 septembre 2022 au Ministère du logement en réunion partenariale avec les associations représentatives des locataires.

A l’ordre du jour, les évolutions relatives au bouclier énergétique et le pacte de confiance entre l’Union Sociale pour l’Habitat et le gouvernement ainsi que l’organisation des prochaines ‘Elections HLM’ qui auront lieu en fin d’année. La CSF a tenu à faire part au Ministre de nos préoccupations sur la précarité et son impact sur la santé mentale, le décrochage scolaire et l’importance de la vie associative. Nous avons rappelé que les élections HLM étaient l’une des rares élections ouvertes aux personnes étrangères (extra-communautaires). (Pour en savoir plus sur les élections HLM)

A l’occasion de cet échange, nous avons mis l’accent sur l’importance de maintenir une diversité sur les quartiers (familles monoparentales, étudiants etc..) et d’appliquer les sanctions dans le cadre des obligations de la loi SRU (Solidarité et Renouvellement Urbain). Les Préfectures sont encore trop réticentes à appliquer les amendes prévues en cas de non-respect par les communes de l’obligation de disposer de 25 % de logements sociaux.

Par ailleurs, la concentration de logements sociaux sur certains territoires conduit à une ségrégation de fait qui a un impact direct sur le bon fonctionnement des écoles, collèges et lycées, où se retrouvent concentrées les familles les plus en difficultés.

Nous avons appelé de nos vœux à une réorganisation des financements de la politique du logement. La loi PINEL coûte 7,4 milliards d’euros pour produire du logement cher. Dans le même temps, le gouvernement réduit à peau de chagrin le financement du logement social et ne montre pas de signes de fléchissement pour relancer les aides à la pierre qui ont quasiment disparues ces dernières années.

Il est primordial de maintenir la vocation généraliste du parc social dont l’image se dégrade faute d’une politique majeure pour lui redonner ses lettres de noblesse qu’il a connues jadis, lorsqu’il offrait du confort et de la modernité jusqu’à la fin des années 70.

La politique du logement aurait besoin d’une réforme structurelle à la hauteur des enjeux afin de répondre au sentiment de déclassement social subi par les familles.

Enfin, nous avons rappelé les enjeux de la rénovation thermique des logements pour permettre de faire baisser la dépense énergétique. Sur ce point, le bouclier tarifaire ne suffira malheureusement pas à permettre aux familles de sortir la tête de l’eau. C’est pourquoi La CSF appelle au gel du vote des loyers pour l’année 2023.


| Contact |
Romain BIESSY . rbiessy@la-csf.org . 06 95 13 05 29
Elodie FUMET . efumet@la-csf.org . 07 49 85 12 34